Au Japon, la Poste a mis en circulation une collection de timbres à l’effigie du fondateur de l’Opus Dei.

Sur ce timbre, il y a le visage du saint et « Saint Josémaria Escriva. Fondateur de l’Opus Dei » en caractères japonais.

Saint Josémaria avait toujours eu une prédilection spéciale pour l’Extrême Orient. En 1935, il avait encouragé monseigneur Alvaro del Portillo, qui s’y mit tout de suite, à apprendre le japonais.

L’Œuvre put enfin commencer son travail stable au Japon et saint Josémaria ne cachait pas sa joie. Quand il reçu la première lettre des fidèles de l’Opus Dei installés au Japon, il écrivit sur l’enveloppe :

« La première lettre du Japon ! Sancta Maria Stella Maris, filios tuos adiuva ! »

À partir de ce jour, à l’arrivée du courrier, s’il y avait une lettre du Japon, il ouvrait l’enveloppe et la mettait à part. Il empilait les autres lettres qu’il lisait après. Et c’était celle du Japon qu’il lisait en premier : ses enfants-là avaient une place de choix dans son âme parce qu’ils étaient dans ce merveilleux pays, à la langue si difficile et où la plupart des gens ne connaissent pas encore le Christ.